Conduite de
réunion
L’éducateur sera confronté régulièrement à appliquer les
règles de conduite de réunion : soit lors des réunions d’équipe soit lors
de réunions de mise en place de projets dans les divers postes de son activité.
1. LA CONVOCATION :
Qui convoque ? : le président, l’animateur de réunion,
le secrétaire.
Comment : On place un avis « ad valvas » avec
comme contenu des différents points qui seront abordés durant la réunion. Cet avis pourra être envoyé par la poste, ou
donné en fin de réunion précédente. On
mettra dessus outre les points à l’ordre du jour le lieu, le jour et l’heure de
la réunion.
2. LA REUNION :
Elle commence à l’heure.
Le président demande un secrétaire qui écrira le rapport définit le temps
imparti à chaque point et l’heure de clôture des débats.
Le président veillera à la lecture du rapport de la réunion
précédente, au suivi des décisions prises aux réunions précédentes avant d’aborder
les points à l’ordre du jour.
Pour chaque point, le président ou celui qui anime la réunion, demandera avis à chacun, pratiquera l’écoute active en reprenant la synthèse des propos énoncés par chacun de façon à ce que tout le monde soit d’accord sur ce qui a été dit. Pour faire avancer les débats en toute sérénité, le meneur de réunion évitera les affrontements en demandant à chacun son avis non pas par rapport à ce qui a été dit, mais par rapport au sujet débattu. Le secrétaire notera chaque avis au besoin. A la fin de chaque point le président fera une synthèse et veillera à ce que l’on acte soit la décision prise soit le report du point. Chaque point doit être clôturé par une prise de décision.
Lorsque le temps imparti à la réunion sera écoulé, le président reportera les points les moins importants, veillera à faire la synthèse avec le secrétaire des décisions prises et veillera à ce que chacun soit conscient de sa tâche.
La réunion se termine en fixant la date, heure et lieu de la réunion suivante si nécessaire avec déjà les points entrevus qui seront débattus.
Pour chaque point, le président ou celui qui anime la réunion, demandera avis à chacun, pratiquera l’écoute active en reprenant la synthèse des propos énoncés par chacun de façon à ce que tout le monde soit d’accord sur ce qui a été dit. Pour faire avancer les débats en toute sérénité, le meneur de réunion évitera les affrontements en demandant à chacun son avis non pas par rapport à ce qui a été dit, mais par rapport au sujet débattu. Le secrétaire notera chaque avis au besoin. A la fin de chaque point le président fera une synthèse et veillera à ce que l’on acte soit la décision prise soit le report du point. Chaque point doit être clôturé par une prise de décision.
Lorsque le temps imparti à la réunion sera écoulé, le président reportera les points les moins importants, veillera à faire la synthèse avec le secrétaire des décisions prises et veillera à ce que chacun soit conscient de sa tâche.
La réunion se termine en fixant la date, heure et lieu de la réunion suivante si nécessaire avec déjà les points entrevus qui seront débattus.
Le secrétaire notera les avis différenciés, les décisions
prises avec qui fait quoi de façon à avoir mémoire des décisions et de permettre
un suivi des décisions prises à la réunion suivante. Il enverra dans les plus brefs délais un
rapport à chaque participant. Ce rapport sera validé à la réunion suivante
comme étant la synthèse exacte de la réunion.
Gestion de
conflit
Pourquoi étudier les conflits ?
Le conflit
Définitions de
conflit
§
Lutte,
opposition entre des pays ou des personnes (Le Robert)
§
Le
conflit est une situation de heurt et d'opposition entre des opinions, des
intérêts, des conceptions ou des valeurs (Guide des méthodes pratique en
formation, E. Marc, J. Garcia)
§
Le
conflit exprime un désaccord entre 2 ou plusieurs parties, personnes ou
groupes, lorsque ce désaccord est vécu par l'une ou l'autre des parties comme
un rapport de forces. Si un conflit est toujours le signe d'un désaccord, un
désaccord n'évolue pas systématiquement en conflit (Conflit –Mettre hors-jeu la
violence, B. Bayada)
§
Le
conflit fait partie de la relation à l'autre. Chacun défend ses idées, ses
droits, sa liberté, sa vie … Le conflit permet l'innovation, le changement. Il
introduit le mouvement dans les relations, dans la société. Une société sans
conflit est une société immobile, sans Histoire. Résoudre le conflit fait
progresser la justice. (La Médiation, non-violence actualité)
Réactions face
à un conflit
Le mot conflit évoque en
nous des sentiments principalement négatifs et c'est notre raison, qui nous
fait penser aux apports positifs des conflits.
Voir notes personnelles
sur les représentations du mot conflit.
Vis-à-vis d'un conflit
on peut adopter plusieurs réactions : depuis l'évitement jusqu'à
l'affrontement. Ceci peut s'illustrer sur avec le schéma suivant : le calumet
du conflit
Sortes de conflits
Le conflit inhérent à la personne même
Chaque
individu éprouve des tensions intérieures. Celles-ci peuvent devenir une source
d’énergie créatrice, mais elles peuvent aussi engendrer l’angoisse, le regret,
la désillusion, l’amertume.
Il arrive
que nos valeurs ou nos désirs personnels ne puissent pas être satisfaits,
compte tenu de l’énergie déployée pour y arriver. Par exemple, un ingénieur
peut s’en vouloir de ne pas avoir suivi les séminaires de formation offerts par
la compagnie, ce qui l’empêche d’obtenir de l’avancement. Il devient donc en
conflit avec lui-même, un combat intérieur s’installe entre les objectifs de
carrière qu’il désire vraiment et les lacunes qu’il ne peut combler. Les
conséquences négatives de ce conflit intérieur peuvent rejaillir sur son
environnement immédiat, tant à l’extérieur (famille, amis, etc.) qu’au sein de
l’organisation (responsable immédiat, collègues de travail, etc.).
Le conflit entre personnes ou entre équipes
Ces
conflits ont souvent pour origine des divergences d’idées ou d’opinions sur les
façons de fonctionner ou de traiter des dossiers. Il peut aussi s’agir de
conflits de personnalités, où l’on observe des réactions d’antipathie
réciproque.
Dans
cette famille de conflits, chaque partie impliquée défend ses intérêts propres
ou entre en conflit pour des enjeux majeurs de l’organisation. À ce stade, la
compétition est importante. Voici deux exemples de cette sorte de conflits :
- un ingénieur gestionnaire plus âgé veut continuer de travailler comme il l’a toujours fait, mais des ingénieurs récemment engagés sont pressés d’innover et veulent changer les manières de fonctionner en équipe;
- deux équipes s’affrontent, souvent dans un contexte générationnel, car chacune d’elles perçoit différemment ce que devrait être un partage des tâches équitable, dans un contexte où les valeurs personnelles sont fondamentales. Les discussions sont intenses en réunion, et la mésentente perdure.
Le conflit en lien avec un rôle à exercer
Le conflit
de rôle constitue un problème important dans une équipe de travail. Les
perceptions de chacun et les nombreuses attentes compliquent davantage le rôle
du responsable. Celui-ci devra tenir compte de ces éléments afin d’assumer
efficacement son leadership.
Le
responsable est fréquemment influencé par les perceptions et les attentes de
ses collègues et de son superviseur, par les rôles qu’ils assument, de même que
par l’influence des relations à l’extérieur du milieu travail.
Exemples :
- Votre organisation perçoit votre rôle comme celui d’un responsable d’équipe qui doit voir au bon fonctionnement d’un programme en place, mais vous vous voyez plutôt comme un agent de changement.
- Votre responsable d’équipe n’a pas défini ses attentes clairement, laissant place à de nombreuses ambiguïtés.
- Vous vous attendez à ce que vos coéquipiers soient autonomes et qu’ils mènent les projets que vous leur avez confiés, alors que ceux-ci se voient comme un soutien à la réalisation de vos idées et suggestions et attendent vos décisions avant de passer à une autre étape d’un projet.
Le conflit lié à la structure organisationnelle
L’origine
d’un conflit peut se trouver dans la structure organisationnelle même. Par
exemple, cette structure ne correspond plus à la réalité d’aujourd’hui en
raison d’une évolution rapide et imprévue. Il en va de même pour les politiques
ou les procédures qui doivent être revues, modifiées et ajustées au besoin.
Quand une
nouvelle structure implique un repartage du pouvoir entre différentes entités
administratives et opérationnelles, le responsable d’équipe y trouve des
sources de conflits qu’il doit régler rapidement.
Trois catégories de conflits[1]
Conflit
à propos d'objets :
Cela se passe lorsque
deux personnes ou groupes désirent le même objet ou ressource et qu'il n'y en a
pas assez pour tout le monde.
Exemples :
Conflit
à propos des sentiments :
Chacun doit pouvoir
exprimer ses sentiments qu'ils soient d'amitié, d'amour, de respect de soi, de
pouvoir, d'admiration, ….
Lorsque ceux-ci ne sont
pas acceptés par tous ou pris en considération, ou sont en opposition, un
conflit peut surgir.
Exemples :
Conflit à propos d'idées :
Lorsque les croyances et
les coutumes de chaque individu ou d'un groupe d'individus ne sont pas respectés,
un conflit peut surgir.
Exemples :
Le processus de résolution
de conflit
L’ingénieur
responsable d’une équipe peut utiliser un processus de résolution de conflit
quand il doit intervenir auprès de deux employés en conflit. En voici les
étapes à suivre.
Avant la
première étape du processus, si l’ingénieur juge que la mésentente est
importante, il peut organiser des rencontres individuelles où chacun a la
possibilité d’expliquer au responsable de l’équipe ce qu’il reproche à son
coéquipier. En comparant les faits exprimés, le responsable a en main les
divergences essentielles entre les deux personnes.
Si le
responsable considère que la mésentente ne nécessite pas une telle rencontre,
il peut passer immédiatement à la première étape d’un processus qui en compte
six.
- Demander aux deux employés de décrire par des faits la mésentente.
Le responsable laisse chacun s’exprimer à tour de
rôle, dans le respect, et n’intervient que pour clarifier les faits. Les
moindres éléments laissant place à des imprécisions doivent être éclaircis
sur-le-champ.
- Demander une amélioration, sans ambiguïté, de la situation.
Le responsable explique que la mésentente le
préoccupe et qu’il compte sur les deux personnes pour éliminer ces tensions.
- Demander les raisons des tensions et écouter les employés dans le cadre d’une écoute nourrissante.
Le responsable, après avoir connu les faits à la
première étape, veut connaître les raisons qui soutiennent ces faits et laisse
chacun s’exprimer tout en gardant une écoute très ouverte. Il incite chacun à
demeurer positif.
- Demander aux employés de faire des suggestions afin de résoudre la mésentente.
Le responsable souligne que ces deux personnes sont
les mieux placées pour trouver des pistes de solutions à la mésentente et leur
demande des suggestions.
- Décider des étapes à suivre pour atteindre la solution choisie.
Le responsable résume les suggestions proposées et
décide, avec les employés, ce qui semble être la solution optimale. Si les
employés n’ont pas de suggestions « potables », le responsable fait son propre
choix et l’explique aux employés. Note : il est de loin préférable que la
suggestion provienne des employés.
- Déterminer un calendrier de rencontres et prévoir un moment précis pour une prochaine réunion.
Le responsable remercie les deux employés pour leur
collaboration et propose une date pour une prochaine rencontre. La date et
l’heure de la rencontre doivent être précisées, et le responsable doit
s’assurer que cette rencontre aura lieu, même si tout semble aller mieux.
Si la mésentente
est profonde, le responsable devra reprendre les mêmes étapes pour améliorer la
situation.
Résolution de conflits
Différents niveaux de gestion de
conflit
Pour résoudre des
conflits, nous distinguons des niveaux différents : communiquer, négocier et
faire appel à un médiateur. Ces niveaux s'incluent l'un dans l'autre. Il est
évident que sans une communication de qualité aucune négociation, ni médiation
ne peuvent être entreprises. De même avant d'en arriver à faire appel à un
médiateur, peut-être peut-on essayer de négocier ensemble une solution… Un
dernier niveau est celui qui tranche : il s'agit de l'arbitrage, en fonction
des règlements établis.
Voici
quelques éléments essentiels pour une communication de qualité[2] :
·
Ecouter sans interrompre : faire comprendre à son interlocuteur que son
message a été écouté en se retenant de le commenter, de le juger ou de
l'évaluer.
·
Demander
des éclaircissements pour s'assurer que la communication est bien passée
·
Reformuler
: avant de répondre, reformuler dans ses mots ce qui vient d'être exprimé.
·
Parler
en "je" : affirmer son désir et ne pas attaquer l'autre avec des
"tu"
Trois façons de
conclure un conflit[3]
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L'un
perd et l'autre perd
|
L'un
gagne et l'autre perd
|
L'un
gagne et l'autre gagne
|
Sentiments
De
part et d'autre, on est blessé physiquement ou affectivement
|
Sentiments
Une
personne se sent blessée et l'autre a ce qu'elle veut
|
Sentiments
Personne
n'est blessé : chacun est content car il obtient ce qu'il veut.
|
Ce qui se passe
Violence
physique ou violence verbale de la part des deux parties.
|
Ce qui se passe
Une
des personnes a recours à la violence physique ou verbale. L'autre lui donne
raison ou s'en va.
|
Ce qui se passe
Personne n'attaque personne, ni physiquement, ni
mentalement. Chacun exprime ses sentiments et ses idées face au conflit.
Chacun montre à l'autre qu'il écoute.
Les personnes en conflit proposent des solutions et
en adoptent une ou plusieurs.
|
Le conflit n'est pas résolu
La
situation est encore plus embrouillée et plus conflictuelle qu'au début.
Aucune
des parties impliquées ne respecte l'autre.
Les
2 parties ne se respectent pas elles-mêmes/
|
Le conflit n'est pas résolu
La
partie lésée risque de réagir.
Aucune
des parties impliquées ne respecte l'autre.
Les
deux parties ne se respectent pas elles-mêmes.
|
Le conflit est résolu
La
résolution est souvent un compromis, dans lequel chaque partie se reconnaît.
Les
deux parties impliquées se respectent mutuellement.
Les
deux parties se respectent elles-mêmes.
|
Etapes pour une
résolution de conflit
Négociation
Une
négociation est une rencontre entre les différents protagonistes du conflit
pour essayer ensemble de trouver une solution satisfaisante pour chacun. Pour
être constructive, la négociation doit prendre en compte les besoins de toutes
les parties en présence. Bien souvent chacune des parties arrive à la
négociation avec des prises de position, des solutions qui défendent ses
intérêts et besoins. C'est ce qui se passe en diplomatie traditionnelle où la
négociation s'articule autour des positions de chacun. Le résultat est alors
perçu comme étant tributaire du pouvoir et de la ruse du négociateur. Il sera
un compromis où chacun n'aura pas perdu trop de plumes par rapport à sa prise
de position première.
Pour
obtenir un résultat durable, tenons plutôt compte des préoccupations profondes
des parties en présence. La négociation basée sur les besoins met l'accent sur
la satisfaction des avantages individuels de chacune des parties. Ainsi, les
parties expriment leurs intérêts et besoins réels. Au-delà de ce qui est
exprimé au cours de la négociation se trouvent les enjeux des parties càd ce
que la négociation une fois achevée leur permettra de faire ou d'être. Ces
enjeux sont rarement exprimés explicitement, mais sous-tendent les énergies
mobilisées dans la négociation.
Quelques
conseils pour aborder une négociation :
·
Clarifier ses besoins et ses objectifs de négociation
·
Avoir
conscience de ses enjeux
·
Evaluer
ses propres intentions relationnelles vis à vis de l'autre partie
Avoir
l'esprit ouvert pour trouver une solution sous un angle nouveau (sortir des
sentiers battus).
Définition
Quand
la négociation échoue ou est impossible à gérer, les parties en présence
peuvent faire appel à un médiateur. Celui-ci a pour but d'aider les parties à
s'exprimer et d'ensemble les amener à construire une solution commune au
conflit. C'est, par exemple, le rôle qu'un éducateur peut avoir dans la gestion
d'un conflit entre 2 bénéficiaires.
Le rôle du
médiateur
Il est essentiel, avant
de démarrer une médiation que les 2 partis soient en accord sur la réalisation
de la médiation et sur le choix du médiateur.
Le médiateur n'a pas
pour fonction de définir un gagnant ou un perdant, comme peut le faire un
arbitre ou un juge, mais il a pour but de renouer le contact pour que les
partis en présence retrouvent la maîtrise de leur conflit et tentent
elles-mêmes d'y apporter une solution. Le médiateur veille donc à établir un
certain esprit de collaboration.
Pour
cela, il travaille
dans la confiance :
Le
médiateur doit croire à la réussite de la médiation. Il doit croire chacun des
partis en présence.
avec le respect de la neutralité :
Le
médiateur doit avoir le respect de la liberté de chacun. Il ne doit pas prendre
parti et doit rester neutre. Il doit prendre les faits de manière égale et
respectueuse : c'est ainsi qu'il aidera les partis en conflit à se respecter
l'un l'autre.
dans la responsabilité :
Le
médiateur doit faire prendre conscience les partis en présence de
§ leur part de responsabilité dans le
problème conflictuel
§ leur prise en charge personnelle dans la
résolution du problème
§ leur responsabilité dans la recherche de
solutions
Concrètement, lors de la médiation
Le
médiateur doit
§
instaurer une procédure et une bonne communication, (voir différents
niveaux de gestion de conflit)
§ imposer que chaque partie lui adresse la parole et
ne parle pas directement à la partie adverse (veiller donc à une bonne
disposition spatiale des personnes)
§ rappeler souvent l'intérêt que chaque
partie a à résoudre le conflit
§ montrer qu'il a bien compris en
synthétisant les propos de chacun
§ reformuler positivement tous les propos,
relever tout ce qui est positif
§ accepter le silence : les participants
peuvent le mettre à profit pour trouver des idées de solution
§ accorder un même temps de parole à chacun
§ transposer le conflit dans un autre cadre
pour le rendre moins virulent, une petite note d'humour peut parfois aussi être
la bienvenue
§ veiller à ce que la médiation se déroule
dans un cadre neutre
Etapes d'une
médiation
1. donner le cadre et les procédures : le pourquoi on
est là, les règles à suivre, la volonté positive de solution, …
2. clarifier le problème à résoudre en écoutant le
récit et les intérêts de chacun
3. faire émerger le plus de solutions
possible (brainstorming)
4. analyser les solutions : quels sont les
intérêts satisfaits ?
5. procéder par des micro-accords et les
rappeler souvent car cela encourage
6. trouver une solution consensuelle et la
mettre par écrit
7. décider d'une période de test de la
solution
8. évaluer et rectifier éventuellement la
décision suite à la période de test.
9. terminer en remerciant les 2 parties et en
les félicitant pour l'accord
L'accord
Un
accord n'est durable que s'il rencontre des niveaux de satisfaction
appréciables dans chacun des trois domaines suivants : les besoins et intérêts
des parties, les relations psychologiques et les procédures.
Le
médiateur doit s'assurer que l'accord soit :
§ équitable : tout participant doit avoir quelque
chose à gagner et quelque chose à faire
§ précis : qui fera quoi, quand, où, … ?
§ réaliste : est-ce que les parties concernées sont-elles en
mesure de respecter les termes de l'accord ? l'accord n'engage-t-il que les 2
parties et pas d'autres personnes ou instances ?
§ clair et simple : l'accord est –il formulé avec un
vocabulaire compris par les 2 parties ? les 2 parties mettent-elles la même
chose derrière les mots ?
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